Les parlementaires azerbaïdjanais appelés à imposer des sanctions contre la France
En réponse à la résolution du Sénat français appelant à l'imposition de sanctions contre l'Azerbaïdjan, la Commission des relations internationales du Milli Mejlis a appelé dans sa déclaration le responsable de Bakou à prendre des mesures de représailles contre Paris.
Fondamentalement, il est proposé d'imposer des sanctions contre la France, de geler tous les avoirs des responsables français en Azerbaïdjan et de mettre un terme à toutes les relations économiques avec la France.
Il est également proposé de retirer les entreprises françaises d'Azerbaïdjan, dont « Total », et d'empêcher les entreprises françaises de participer à tout projet commandé par l'Azerbaïdjan.
Le ministère des Affaires étrangères de l'Azerbaïdjan a été chargé de prendre des mesures pour reconnaître l'indépendance de Kanaka, de Maohi-Nui et de la Corse.
*Le 17 janvier, le Sénat français a adopté à la quasi-unanimité une résolution exigeant l'imposition de sanctions contre l'Azerbaïdjan en raison de l'opération antiterroriste menée par Bakou sur son territoire souverain au Karabakh en septembre de l'année dernière.